Commentaire concernant la carte conceptuelle
Au début de la réalisation de l’activité, j’ai d’abord choisi un thème très général, j’irais jusqu’à dire qu’il était trop général. Lorsque Martine a vu ma carte conceptuelle, elle m’a mentionné que je devrais choisir un thème plus précis que « santé et bien-être ». Ainsi, j’ai modifié le thème de ma carte. J’ai alors choisi un concept que j’avais déjà inclus dans le premier schéma que j’avais confectionné. Le thème de l’alimentation me semblait plus facile à décortiquer que les autres que j’avais traités auparavant étant donné que j’avais réussi à le séparer en plusieurs sous-catégories. Enfin, j’ai construit un nouveau schéma conceptuel sous forme de constellation portant sur l’alimentation.
Personnellement, ce schéma a été extrêmement facile à créer. Évidemment, la confection de ce type de carte, qui consiste à planifier le contenu d’une éventuelle rédaction, ne m’était pas inconnue. En effet, lorsque j’étais au primaire, je me souviens d’avoir fait à maintes reprises des schémas conceptuels. De plus, à bien y penser, la planification de cartes conceptuelles m’a aussi été présentée au collège, dans mes cours de littérature. Chaque fois que j’avais une dissertation à faire sur un roman ou une nouvelle, mon enseignante nous demandait de confectionner un plan sous cette forme. De cette façon, elle pouvait rapidement avoir une bonne idée de ce que nous allions traiter à l’intérieur de nos dissertations. Ainsi, cette dernière vérifiait chacun de nos plans et nous disait si nous étions sur la bonne voie.
Pour revenir à la question qui nous a été présentée durant la dernière partie du cours, je dirais que la carte conceptuelle est une bonne activité de planification d’écriture. Premièrement, elle permet d’esquisser rapidement ce que l’auteur désire traiter à l’intérieur de son texte. Deuxièmement, cet outil est, selon moi, plus visuel que le plan ayant pour titre « Faire un plan : organiser mes idées ». D’un seul coup d’œil, il est facile de voir ce que sont les idées principales, secondaires et tertiaires, ainsi que chaque lien qui sera émis entre elles. Cependant, l’autre type de planification (Faire un plan : organiser mes idées ), démontre la succession des idées, mais ne présente pas la hiérarchisation de ces dernières. Troisièmement, les enfants adoreront faire des cartes conceptuelles étant donné qu’elles s’apparentent au dessin. Cependant, le fait que les élèves considèrent plutôt cet exercice comme une activité d’arts plastiques peut causer certains problèmes. Il serait alors important que, dès le début, l’enseignant spécifie que la carte conceptuelle n’est pas de l’art, que l’apparence de celle-ci est loin d’être aussi importante que la qualité de son contenu. De cette façon, il n’y aurait pas une énorme perte de temps à confectionner le squelette de la carte.
Et vous, êtes-vous d’avis que cet outil de planification est aussi bon pour les enfants que pour les adultes?