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Mon journal d’écriture

3 octobre 2006

La poésie

Mes productions

Vers contenant le plus de son « k »

Kassandra la coquine cueille de fantastiques coquelicots pendant que Carl discute avec Karine, sa copine.

Onomatopée

Mmm, que ces graines de tournesol sont bonnes!  Crac! Tupp! Crac! Tupp!

Mots débutants par « s »

La scolarité

La sociologie

Le socioconstrucivisme

Le savoir

Le succès

La science

Mes commentaires

Les activités que nous avons faites ont vraiment fait changer ma perception des poèmes et de l’enseignement des poèmes.  Pour être bien honnête avec vous, je peux vous affirmer que je ne suis pas une fille qui était particulièrement attirée par les poèmes lorsque j’étais enfant. 

Évidemment, je crois que l’enseignement qui m’a été fait sur le sujet a fait en sorte que je n’étais pas très reconnaissante à la poésie.  Par exemple, lorsque j’étais en troisième secondaire, je me souviens d’avoir mémorisé des poèmes, pour ensuite les présenter à la classe d’une façon originale.  À la suite de ce type d’activité, qui s’est d’ailleurs étendue sur plus de trois semaines, nous avons commencé à lire de la poésie tout en ayant le ton, la hauteur, l’intensité et le timbre appropriés.  Enfin, ce n’est qu’au collège que j’ai appris à analyser cet art de langage, à mieux le comprendre et à y être plus sensible ainsi que reconnaissante. 

            Pour revenir aux exercices que nous avons faits et ceux que nous avons vus en survol,  je peux affirmer que ces derniers m’ont permis de découvrir le côté amusant de la poésie.  En effet, je crois que si j’avais eu l’occasion de faire ces activités au primaire ou au secondaire, j’aurais aimé davantage la versification.  Grâce aux apprentissages que j’ai eu l’occasion de faire aujourd’hui, je serai maintenant moins réticente à enseigner la poésie à mes futures élèves, étant donné que j’ai, à présent, une meilleure perception de ce qu’elle est.

            Décidément, ces activités, toutes plus intéressantes les unes que les autres, sauront susciter l’intérêt des apprenants quant à ce sujet.  En d’autres termes, ceux-ci seront plus intéressés à écouter les poèmes, à en lire et à en faire.

            De votre côté, quelles sont les activités que vous avez faites sur la poésie lorsque vous étiez au primaire ou au secondaire?  Étaient-elles intéressantes pour les élèves? Précisez.

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28 septembre 2006

exercice sur les types de phrases

     « Qu’attends-tu pour cesser de fumer?   Franchement, tu devrais faire beaucoup plus attention à ton corps!  Le tabac est un produit très nocif pour ta santé. Chaque cigarette inspirée par ton corps risque de diminuer le nombre de jours qu’il te reste à vivre. Je ne comprends vraiment pas pourquoi tu t’acharnes à te détruire de cette façon.  Il y a beaucoup plus d’inconvénients que d’avantages à fumer la cigarette.  En aspirant ses substances nocives, tu n’améliores pas du tout ton état de santé.  Tes poumons risquent de devenir de plus en plus noirs et tes dents risquent de ne plus être aussi blanches. En fait, plus tu fumes, plus tu deviens essoufflée, moins en forme. Bref, cesse de fumer et reste en vie ou continue à fumer et « meurs à petit feu ». »

Commentaires

     Lorsque la période prévue pour rédiger ce texte a débuté, j’ai commencé par écrire une phrase portant sur un sujet original, afin de créer un certain lien avec les autres phrases que j’avais construites pendant le cours.  Pour ceux qui ne le savaient pas, j’avais composé différents types de phrases portant toujours sur les déchets. 

     Après avoir écrit la première phrase qui était de type exclamatif, j’ai tenté de poursuivre avec les autres catégories de phrase, mais en vain.  Je me suis rapidement rendu compte que le travail était loin d’être facile.  Bien que les différents types de phrases ne me soient pas inconnus, j’avais du mal à les enchaîner.  Cependant, j’ai essayé de continuer avec le même thème.  Lorsque la période de temps fut écoulée, je n’avais pas encore complété mon texte. 

     Arrivée à la maison, je me suis mise à relire mon texte et je me suis vite aperçue que celui-ci était incohérent.  J’ai donc décidé sur-le-champ de traiter de la cigarette et de ses effets néfastes.  Je me suis donc mise à penser à la forme du texte que je voulais construire.  Enfin, j’ai choisi de faire une tirade. 

     Ainsi, j’ai écrit quelques phrases.  Je me suis arrêtée, je les ai relues une à une et je les ai reliée au type de phrase auquel elle se rapportait.  Par la suite, j’ai poursuivi la rédaction de cet écrit en tentant de créer des phrases correspondant aux types restants.  Puis, j’ai lu de nouveau mon court texte afin de m’assurer que les phrases soient cohérentes et j’y ai apporté quelques corrections de différents ordres. 

     Décidément, le fait que l’activité ait paru difficile pour moi, dû au fait que j’éprouvais du mal à enchaîner mes phrases, a fait en sorte que j’ai vraiment pu voir que mon processus rédactionnel n’était pas linéaire, mais purement récursif.  Évidemment, j’ai dû revenir à plusieurs reprises sur les étapes antérieures du processus d’écriture, pour ensuite retourner aux suivantes.

     De votre côté, cet exercice vous a-t-il permis de « vivre » le processus rédactionnel récursif ou linéaire? Expliquez.

20 septembre 2006

Commentaire concernant la carte conceptuelle

Au début de la réalisation de l’activité, j’ai d’abord choisi un thème très général, j’irais jusqu’à dire qu’il était trop général. Lorsque Martine a vu ma carte conceptuelle, elle m’a mentionné que je devrais choisir un thème plus précis que « santé et bien-être ».  Ainsi, j’ai modifié le thème de ma carte.  J’ai alors choisi un concept que j’avais déjà inclus dans le premier schéma que j’avais confectionné.  Le thème de l’alimentation me semblait plus facile à décortiquer que les autres que j’avais traités auparavant étant donné que j’avais réussi à le séparer en plusieurs sous-catégories.   Enfin, j’ai construit un nouveau schéma conceptuel sous forme de constellation portant sur l’alimentation. 

Personnellement, ce schéma a été extrêmement facile à créer.  Évidemment, la confection de ce type de carte, qui consiste à planifier le contenu d’une éventuelle rédaction, ne m’était pas inconnue.  En effet, lorsque j’étais au primaire, je me souviens d’avoir fait à maintes reprises des schémas conceptuels. De plus, à bien y penser, la planification de cartes conceptuelles m’a aussi été présentée au collège, dans mes cours de littérature.  Chaque fois que j’avais une dissertation à faire sur un roman ou une nouvelle, mon enseignante nous demandait de confectionner un plan sous cette forme.  De cette façon, elle pouvait rapidement avoir une bonne idée de ce que nous allions traiter à l’intérieur de nos dissertations.  Ainsi, cette dernière vérifiait chacun de nos plans et nous disait si nous étions sur la bonne voie. 

Pour revenir à la question qui nous a été présentée durant la dernière partie du cours, je dirais que la carte conceptuelle est une bonne activité de planification d’écriture.  Premièrement, elle permet d’esquisser rapidement ce que l’auteur désire traiter à l’intérieur de son texte.  Deuxièmement, cet outil est, selon moi, plus visuel que le plan ayant pour titre « Faire un plan : organiser mes idées ».  D’un seul coup d’œil, il est facile de voir ce que sont les idées principales, secondaires et tertiaires, ainsi que chaque lien qui sera émis entre elles.  Cependant, l’autre type de planification (Faire un plan : organiser mes idées ), démontre la succession des idées, mais ne présente pas la hiérarchisation de ces dernières. Troisièmement, les enfants adoreront faire des cartes conceptuelles étant donné qu’elles s’apparentent au dessin.  Cependant, le fait que les élèves considèrent plutôt cet exercice comme une activité d’arts plastiques peut causer certains problèmes.  Il serait alors important que, dès le début, l’enseignant spécifie que la carte conceptuelle n’est pas de l’art, que l’apparence de celle-ci est loin d’être aussi importante que la qualité de son contenu.  De cette façon, il n’y aurait pas une énorme perte de temps à confectionner le squelette de la carte.

Et vous, êtes-vous d’avis que cet outil de planification est aussi bon pour les enfants que pour les adultes? 

14 septembre 2006

Mes réactions et mes commentaires (publicité)

À première vue, cette activité farfelue m’a semblé à la fois amusante et facile à réaliser. Évidemment, la rédaction était relativement courte, soit d’au plus trois phrases. En fait, tout ce que je devais faire était de vanter les qualités qui faisaient de moi une excellente enseignante.

Comme il y a toujours un point plus délicat dans les exercices rédactionnels de Martine, les directives n’ont été présentées que de façon générale, ce qui a fait en sorte que j’ai eu à travailler mon imagination. Puisque le destinataire, le format et la structure du texte n’ont pas été spécifiés, un besoin de précision s’est fait sentir. Enfin, mon propre jugement m’a aidée à répondre aux nombreuses questions que je me posais quant au type de publicité à réaliser.

Suite à cette phase de questionnement, je me suis mise à écrire une brève liste des qualités qui me représentent bien comme étant un bonne enseignante en devenir. Par la suite, j’ai tenté de formuler un slogan amusant qui retenait l’attention. Cependant, je ne faisais qu’écrire des phrases comiques, en lien avec l’enseignement, mais qui ne présentaient pas réellement mes qualités en tant qu’enseignante.

À la fin du cours, je n’avais toujours pas trouvé mon slogan publicitaire. J’ai donc songé à ma liste de qualités et j’ai enfin trouvé une phrase, présentée de façon originale, qui répondait bien aux critères initiaux si peu détaillés. Puis, à quatre reprises, j’ai modifié soit la tournure, soit quelques mots de cette phrase pour en arriver au slogan présenté antérieurement.

Bref, cette activité qui semblait relativement facile étant donné ses dimensions, m’a pris plus de deux heures complètes à réaliser. À mon avis, le fait que j’avais la possibilité de me lancer vers un million de directions est la cause de cette longue période de temps consacrée à la planification et à la rédaction de quelques brouillons. J’en suis donc venue à constater qu’une rédaction de courte étendue, tout comme celle d’un slogan publicitaire ou d’un poème, est, pour moi, plus difficile à réaliser que tout autre texte plus long.

14 septembre 2006

Attention ceci n'est pas une vraie publicité, c'est un exercice.

Comme je souhaite transmettre mes savoirs avec patience, respect et objectivité tout en facilitant l’apprentissage des enfants, je serai donc une excellente future «prof».

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11 septembre 2006

Mes réactions

            À première vue, cette rédaction me semblait tout de même simple.  En effet, les éléments à insérer dans mon texte étaient faciles à trouver, étant donné que c’était ce que j’avais fait durant la période estivale. Lorsque j’ai rédigé mon texte, je n’ai pas éprouvé de la difficulté à l’écrire en quinze minutes.  Cependant, quand le moment est venu de relire mes paragraphes, j'ai rapidement remarqué que mes phrases n’étaient pas aussi bien construites que celles que je faisais l’an passé.   Comme je n’avais pratiquement pas écrit de l’été, j’ai dû relire mes phrases et en reconstruire plusieurs d’entre elles.  Enfin, j’ai publié mon texte sans être tout à fait satisfaite de la qualité de celui-ci.  Le lendemain, lorsque je l'ai relu, j’y ai trouvé deux fautes qui, à temps normal, auraient été rapidement corrigées.

     Suis-je la seule à avoir éprouvé ces problèmes?

11 septembre 2006

Mes commentaires

À mon avis, ce type d’activité a la possibilité de se faire sensiblement chaque année du primaire.  Évidemment, l’enseignante doit adapter cette dernière en fonction des capacités et des habiletés de ses élèves.  Par exemple, en première année du premier cycle, l’institutrice peut demander aux enfants de dessiner ce qu’ils ont fait durant l’été.  D’autre part, elle peut leur dire de raconter leurs vacances estivales à leurs camarades de classe. 

            Pendant les années qui suivent, cette même activité peut se répéter tout en étant quelque peu modifiée.  Celle-ci peut prendre la forme d’une rédaction, d’un jeu-questionnaire, etc.

            En fait, cet exercice permet aux enfants de s’exprimer d’une manière ou d’une autre, et ce, sans avoir besoin de réfléchir énormément sur le sujet.  Indubitablement, l’apprenant n’a qu’à songer à un événement marquant de son été, à une sortie faite en famille faite ou à une activité effectuée au camp de jour.

            De surcroît, cette situation d’apprentissage fait en sorte que les apprenants aient une meilleure connaissance des autres élèves de la classe.  Par ailleurs, cette dernière peut aussi servir d’évaluation formative, car l’enseignante peut, dès le premier jour, détecter les forces et les points à améliorer de chaque enfant.

Enfin, cette activité me semble très intéressante.  En effet, elle est à la fois simple à réaliser, ajustable à tous les cycles du primaire et facile à modifier afin qu’elle ne devienne pas répétitive. 

7 septembre 2006

Mes vacances d'été

 Durant la majeure partie de mes vacances d’été, j’ai travaillé afin d’amasser de l’argent. En effet, j’ai tout d’abord fait de la suppléance durant la période du 20 avril au 20 juin. La cousine de mon père, qui est enseignante, avait conservé la quasi-totalité de ses journées de congé afin de les utiliser à la fin de l’année scolaire. De ce fait, j’ai pu faire de la suppléance dans sa classe de deuxième et de troisième année au moins trois fois par semaine. De plus, j’ai remplacé certaines autres enseignantes de cette même école à quelques dizaine de reprises. Cette expérience fut très enrichissante pour moi étant donné quelle m’a permis d’améliorer certaines compétences transversales.

    Pendant les journées durant lesquelles je ne pratiquais pas ma future profession, je travaillais dans une épicerie. Cependant, je n’ai tout de même pas travaillé jusqu’à la rentrée des classes, je me suis tout de même reposé et amusé durant les douze dernières journées. Tout d’abord, je suis allée à quelques reprises dans divers parcs aquatiques se situant au Québec et j’ai fait du canot-camping sur une île du réservoir Poisson Blanc. Enfin, je suis allée visiter Toronto et ses environs avec mon copain. Entre autre, nous sommes allés à Wonderland et à Niagara Falls. Malgré le fait que je n’ai pas beaucoup profité du soleil, je me contente en me disant que j’irai dans le sud cet hiver.

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